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 Mémoires de l'inspecteur BONTEMPS, acte II (1/2)

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roger-le-routier

roger-le-routier


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Mémoires de l'inspecteur BONTEMPS, acte II (1/2) Empty
MessageSujet: Mémoires de l'inspecteur BONTEMPS, acte II (1/2)   Mémoires de l'inspecteur BONTEMPS, acte II (1/2) Icon_minitimeLun 1 Déc 2008 - 9:49

L.A.P.D./C.O.P.S.

Rapport d’investigation


N°287-03/2030-OiC/Pemb/548/COPS
Date : 22 Juillet 2030

Responsable d’enquête1: Inspect. Wilbert HIGHTOWER (Rémi)– matr.3900112
Responsable d’enquête2: Inspect.. Pierre WESSON (Kevin)– matr.3900911

Assistant : Inspect. Sakura LAGARDERE (Débie) – matr.3900261
Assistant : Inspect. ricardo SANCHEZ (Jérémy) – matr.3900572
Assistant : Inspect. Gabriel BONTEMPS – matr.3900169

Objet : Enquête 1 semaine en enfer

PJ : individus remarquables rencontrés lors de l’enquête.

RAPPORT COMPLEMENTAIRE :

L’avantage lorsque l’on a été brillant lors d’une première affaire, c’est que l’on pense à vous sitôt la prochaine merde arrivée. Là, nous avions été tellement bons que le Capitaine SKRIPNIK nous a mis simultanément sur 2 affaires. Afin de rendre cette restitution plus agréable, nous les résumerons l’une après l’autre, même si dans les faits nous les avons menées toutes 2 de front.

La première consistait donc à enquêter sur de mystérieuses disparitions survenues dans les rues de SkyRoad. Des SDF, marginaux et autres bannis de la société semblaient s’évaporer d’une façon des plus étrange et, surtout, à un rythme beaucoup plus élevé que d’accoutumé. Même si cette enquête sentait bon la punition et la « journée en uniforme » déguisée, nous nous sommes rapidement mis au travail. Pour une raison qui m’échappe encore, ce fut l’inspecteur Wilbert HIGHTOWER (Rémi) qui fut désigné responsable de l’investigation. Certainement un encouragement pour lui à poursuivre ses cours d’alphabétisation.

Une étude croisée des derniers disparus nous fit constater que tous étaient passés par la MISSION DU DERNIER ESPOIR quelques jours avant de s’évaporer dans une « mystérieuse fourgonnette noire » (selon les quelques témoins des agressions). Confondus par ce hasard, nous avons rendus une visite de courtoisie à ces travailleurs sociaux dirigés par le Dr. Karl WONG. Une analyse de leurs fichiers nous a immédiatement éclairés sur le perfectionnisme de ces valeureuses personnes. En effet, une de ces bonne âmes poussaient le bilan de santé administré à tout nouvel arrivant jusqu’à la détection de diverses maladies tropicales et aberrations génétiques, entre autres analyses ADN. Touchés par tant de sollicitude, nous avons réussi a trouver suite à divers recoupements la personne responsable de ces différents tests et avons décidé de lui exprimer notre reconnaissance. Cette Mlle Janice KALKSTEIN, infirmière de cette pseudo Clinique, s’est bien vite sentie obligée de nous avouer sa complicité dans cette affaire. 2 caïds unionistes, les « frères » Andrew & Steven TAMISI, l’avait soudoyée pour obtenir les dossiers des accueillis les plus saints. Les heureux élus avaient alors une fâcheuse propension à disparaître dans les heures qui suivaient. Ballotés entre l’ire et la joie après de telles révélations, nous nuâmes aucun mal à convaincre cette pauvre pécheresse de déposer et de collaborer. La bougresse nous avoua qu’elle était le dernier nom à avoir attirer l’attention des jumeaux diaboliques. C’est bien entendu l’un d’entre nous qui allait remplacer la victime de cette enlèvement. Ma classe innée m’empêchant de camper un clochard crédible, l’Inspecteur HIGHTOWER (Rémi) n’ayant pas besoin de déguisement pour y parvenir mais étant trop précieux en cas de coups durs, c’est l’Inspecteur WESSON (Kevin) qui montra les dispositions les plus naturelles pour ce subterfuge. Dument grimé et avec bon nombre d’émetteurs et de micros introduits dans tous les orifices, nous le livrâmes aux affres du macadam. Quelques minutes plus tard, notre fameuse fourgonnette noire fit irruption dans la rue. Un malabar encagoulé en surgit et assomma notre ami avant de le hisser à bord, le tout avec une rapidité déconcertante. Nous suivîmes le véhicule à distance respectable afin de ne pas attirer l’attention des chauffeurs et arrivâmes en vue d’un entrepôt en pleine zone industrielle après de longues heures de route.

4 gardes en armes (automatiques) patrouillaient autours. Nous décidâmes d’appeler des renforts et de faciliter leur intervention en neutralisant ces sentinelles. Armés de notre courage, de nos armes de service et part le prompt renfort de nos tonfas vengeurs, nous avons discrètement neutralisé 2 des gardes extérieurs en vu des les interroger. C’est alors que nous avons entendu avec effroi sur leur micro « attention, la Police arrive ». Tout autant désireux d’aider notre ami au plus vite que d’éviter que les preuves des forfaitures commises en ces lieux ne disparaissent, nous avons donné l’assaut. Les 2 autres patrouilles furent donc aussitôt expédiées dans le monde merveilleux des hommes sans tête. Puis vint le temps de l’assaut proprement dit (façon de parler). N’écoutant que notre bravoure, nous pénétrâmes tous 3 dans le hangar. Les siamois du crime nous y attendaient, protégés par de lourds gilets pare balle et armés de fusils d’assaut. 2 de leurs hommes de mains munis de jerricanes tentaient quant à eux d’effacer tout trace de leur larcin, tandis que 2 autres s’apprêtaient à nous mitrailler depuis l’étage.

Tout est alors allé très vite. L’inspecteur LAGARDERE (Débie) s’occupa des incendiaires amateurs avec l’aide de l’inspecteur WESSON (Kevin), qui révéla ainsi à nos hôtes son identité secrète de la plus pertinente des façons. Impressionnés par une telle coordination, les 2 spadassins de l’hydrocarbure décidèrent aussitôt de décéder, aidés dans leur choix par 4 balles de compact uni savamment distillées. L’inspecteur HIGHTOWER (Rémi) et moi-même nous occupèrent des 2 photocopies unionistes. Le premier des 2 s’obstina tout d’abord à ne pas mourir, en dépit des 2 dragées de 9 mm généreusement offertes par mon coéquipier et de la décharge de fusil que je lui expédiais, lui arrachant partiellement le bras à l’occasion. La réplique ne se fit pas attendre et nous ne dûmes notre survie qu’à la robustesse de notre tenue de combat sponsorisée par Kevlar (grâce lui en soit rendue). Plaisir d’offrir, joie de recevoir, les secondes suivantes sentirent bon la poudre et le plomb. La seconde salve eu raison du premier des TAMISI, qui décéda avec un manque de dignité confondant, se croyant autorisé à repeindre le local de ses abats et entrailles. Il est d’ailleurs toujours surprenant de constater tout ce que peut contenir un estomac. Avec un manque de fair-play évident, son frère et les 2 mercenaires restants déchaînèrent leurs armes sur nous en hurlant leur haine de notre état bien aimé et de ses courageux représentants. Légèrement blessé au bras, je vis l’inspecteur HIGHTOWER (Rémi) choir sous les impacts. Sûr du bien fondé de notre action je ripostais à nouveau, arrachant la jambe du jumeau rescapé. Cette passe d’arme fut également fatale à l’un des sniper du premier étage, abattu par l’inspecteur LAGARDERE (Débie). HIGHTOWER (Rémi), fort heureusement seulement blessé se releva avec peine, mais hors de mon chant de vision. Le second sniper me pris pour cible, me cassant 2 côtes au passage. Puis vint l’ultime acte de cette fusillade sanglante. Emporté par la douleur et la rage d’avoir vu un compagnon d’arme tomber à mes côtés, je bondissais sur l’unijambiste récemment endeuillé et lui arrachait cette fois le bras droit à grand coups de chevrotine. Impressionné par ma détermination, à cour de membres et d’arguments, il jetait son arme et se rendait en se vidant de son sang. Les inspecteurs LAGARDERE (Débie) et HIGHTOWER (Rémi), au prix d’un tir croisé remarquable, ajustèrent le dernier belligérant. Celui-ci n’eu d’autre alternative que de passer de vie à trépas. L’inspecteur LAGADERE prodigua alors aux différents blessés, TAMISI 2 compris, des premiers secours d’une grande efficacité.

Une fouille minutieuse des lieux nous révéla maints cadavres dans divers containers ainsi que des monceaux de restes humains dans un four au rez-de-chaussée. Le premier étage était quand à lui peuplé d’une charmante communauté de scientifiques, docteurs, chercheurs unionistes et autre victimes entubées, le tout travaillant sous l’autorité de Madame le Dr Joyce BOOTH. Ebahies par la récente démonstration de notre savoir faire, ces dignes successeurs de Mengele passèrent vite aux aveux. Œuvrant pour le bien de l’humanité option mercantile, ces hypocrites assermentés voulaient trouver un moyen de lutter contre le vieillissement cellulaire, quitte pour cela à sacrifier quelques clochards californiens. Attiré par le Nobel et l’argent, les frères TAMISI se sont naturellement joints à cette entreprise emprunte d’humanisme génétique. Lors de son transfert Steven TAMISI, seul rescapé des 2 photocopies unionistes, me promis d’ailleurs un sort funeste dès sa sortie de prison, le tout avec une vigueur étonnante au vu de son état. Touché par une sincérité aussi spontanément manifestée, je me notais alors de passer quelque coups de fils au pénitencier pour que ce grand mutilé y glisse au plus vite sur un savon…

Toute la bande était donc sous les verrous avec un dossier aussi bien ficelé qu’une call girl lors d’une soirée bondage. Leur destinée fleurait bon le vieillissement cellulaire en prison.


Dernière édition par roger-le-routier le Ven 19 Déc 2008 - 12:03, édité 2 fois
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Amandarn

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MessageSujet: Re: Mémoires de l'inspecteur BONTEMPS, acte II (1/2)   Mémoires de l'inspecteur BONTEMPS, acte II (1/2) Icon_minitimeLun 1 Déc 2008 - 14:24

roger-le-routier a écrit:

Toute la bande était donc sous les verrous avec un dossier aussi bien ficelé qu’une call girl lors d’une soirée bondage. Leur destinée fleurait bon le vieillissement cellulaire en prison.

excellent lol!
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